Les années 1879-1914 sont généralement présentées comme l'« âge d'or » de la Troisième République et la « belle époque » des libertés. Cette mythologie ne résiste pas à l'examen./Les gouvernements n'ont pas été totalement fidèles aux principes dont ils se réclamaient. Ils ont conservé, et utilisé dans un but répressif, de larges pans des constructions juridiques impériales. En certaines circonstances, la protection du régime politique ou la défense de l'ordre social ont, à leur initiative, provoqué de sérieuses lézardes dans la façade libérale./Les plus graves des restrictions aux libertés sont intervenues sur les terrains où le combat a aujourd'hui cessé. D'où la légende. En faire justice conduit à une plus juste appréciation de la Troisième République.
Nicolas Leprêtre
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