Quand, le 3 septembre 1939, la France et la Grande-Bretagne entrent en guerre, les deux pays viennent de se doter d'un organe de décision commun pour le temps de guerre : le Conseil suprême interallié. Mais si l'on y ébauche projet sur projet... Lire la suite
Quand, le 3 septembre 1939, la France et la Grande-Bretagne entrent en guerre, les deux pays viennent de se doter d'un organe de décision commun pour le temps de guerre : le Conseil suprême interallié. Mais si l'on y ébauche projet sur projet (expédition à Salonique, minage des eaux du Rhin, secours à la Finlande par Petsamo ou Narvik, bombardement du Caucase), aucun n'est mis à exécution, et lorsque de véritables opérations s'engagent en Norvège, en avril 1940, elles aboutissent à un complet fiasco. Dans ce livre on assiste, pour ainsi dire heure par heure, aux délibérations, parfois dramatiques, entre Chamberlain, Daladier, Reynaud, Churchill..., tandis que les chefs militaires alliés, paralysés par le sentiment de leur infériorité, préfèrent mener une « drôle de guerre » plutôt que la I guerre tout court.
I. le Conseil suprême interallié : l'institution
II. les figures principales du Conseil suprême
Conseil suprême interallié : 12 septembre 1939
Conseil suprême interallié : 22 septembre 1939
Conseil suprême interallié : 17 novembre 1939
Conseil suprême interallié : 19 décembre 1939
Conseil suprême interallié : 5 février 1940
Conseil suprême interallié : 28 mars 1940
Conseil suprême interallié : 9 avril 1940
Conseil suprême interallié : 22-23 avril 1940
Conseil suprême interallié : 27 avril 1940
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