À partir de Mai 68, les questions pénales sont marquées par une forte politisation. Ce livre dresse une histoire inédite de l'évolution de la justice contemporaine sous la pression des mouvements contestataires. Lire la suite
À partir de Mai 68 et au cours des années 1970, des mouvements militants (d'extrême-gauche, de prisonniers, de féministes, d'homosexuels, d'immigrés, etc.)font émerger une nouvelle pratique critique du droit et des institutions pénales.
Les quinze années qui suivent sont marquées par une politisation des questions pénales et par un éclatement des positions militantes en la matière : faut-il envoyer les patrons en prison ? Lutter contre la répression ou saisir les tribunaux des dommages que l'on subit ? Plaider contre la loi pénale ou pour son application ? Veut-on demander un renforcement des sanctions contre les agressions racistes, sexistes, sexuelles, homophobes, etc. comme signe de reconnaissance de la gravité des préjudices ?
Jean Bérard propose une histoire inédite des relations entre les mouvements contestataires et la justice, et apporte un éclairage sur leur contribution essentielle à l’évolution de la justice et du système pénal contemporains.
DOSSIER
Introduction. Promesses et réalités de l'entrepreneuriat des jeunes
Caroline Verzat, Angélica Trindade-Chadeau, Olivier Toutain
Le projet entrepreneurial à l'école primaire : tensions inhérentes à son intégration à la forme scolaire
Matthias Pepin
L’action collective des adolescents : premiers pas d’entrepreneurs ?
Emmanuelle Maunaye, Fransez Poisson
Des jeunes plus ou moins prêts à devenir entrepreneurs. De l’engagement sportif amateur à la création d’entreprises de tourisme sportif
Fanny Dubois, Philippe Terral
Qu’est-ce qu’un startuper ?
Tiphaine Liu
HORS DOSSIER
« Toutes et tous égaux devant la science » ? Évaluer les effets d’un projet sur l’égalité filles-garçons en sciences
Christine Détrez, Clémence Perronnet
Pratiques vestimentaires et expressions du genre.
Effets de contextes scolaires contrastés
Stéphanie Barrau
Le non-recours à la mobilité internationale chez les jeunes avec moins d’opportunités. Un exemple de capacitation empêchée dans le cadre
non formel, Francine Labadie, Clotilde Talleu